En cette rentrée, pendant que nos grands stratèges de la social-démocratie imaginent des machines à perdre, à mille lieux des préoccupations des citoyens, la droite avance tranquillement ses pions, comme sur la taxe carbone
jeudi 3 septembre 2009
jeudi 3 septembre 2009
En cette rentrée, pendant que nos grands stratèges de la social-démocratie imaginent des machines à perdre, à mille lieux des préoccupations des citoyens, la droite avance tranquillement ses pions, comme sur la taxe carbone
mercredi 17 juin 2009
Depuis une semaine, la droite au pouvoir considère sa 1ère place aux européennes comme un blanc-seing délivré par le peuple pour accélérer ses néo-libérales réformes de régression sociale.
jeudi 18 décembre 2008
Le monde nous informe que notre omniprésident Sarkozy a annoncé que La Poste deviendra une société anonyme ouverte seulement "à des capitaux publics"...
Autrement dit, Sarkozy enfonce un coin dans ce service public...
jeudi 25 septembre 2008
Qui peut croire qu’un actionnaire privé financera les missions de service public qui grèvent les comptes de un milliard d’euros ?
Sarkozy ? Fillon ? Santini ? Lagarde ? L'UMP ?
On a du mal à le croire... Surtout avec ce qui se passe actuellement.
lundi 7 juillet 2008
Le Monde nous informe que
"La Poste, la première entreprise française avec 300000 salariés, pourrait bientôt changer de statut."
Dans un contexte de finances publiques exsangues et d'une libéralisation postale européenne à marche forcée, le changement du statut de La Poste s'avère inéluctable pour lui permettre de lutter à armes égales contre ses concurrents.
D'ailleurs, les Echos abondent en ce sens :
"Ce n'est pas parce que le courrier sera libéralisé en 2011 et que le Livret A sera banalisé en 2009 que La Poste cherche à évoluer, mais parce que le progrès général l'y pousse et qu'elle doute que l'Etat lui donne à l'avenir les moyens de ses ambitions. Refuser de s'inscrire dans cette dynamique serait toujours possible, mais dangereux."
Selon les Echos, postiers et usagers ont tous à y gagner :
"Pour les usagers qui risquent de voir le service se dégrader faute d'investissements suffisants dans la modernisation des outils. Mais aussi pour le personnel (...)".